Bienvenue sur le site des "Sparfel"

Sparfel et l'Histoire de France

1567 :          Nantes 

1568/70 :    Nantes   

1576 :          Nantes
 
1583 :          Nantes 
 
1586 :         Quimper
   
1594/5 :     Quimper   

1598 :         Plougastel-Daoulas   
1567 :          Nantes 

1568/70 :    Nantes   

1576 :          Nantes
 
1583 :          Nantes 
 
1586 :         Quimper
   
1594/5 :     Quimper   

1598 :         Plougastel-Daoulas   
1567 :          Nantes 

1568/70 :    Nantes   

1576 :          Nantes
 
1583 :          Nantes 
 
1586 :         Quimper
   
1594/5 :     Quimper   

1598 :         Plougastel-Daoulas   

Les déchaînement des forces de la nature ou de la folie des hommes

l'explication du nombre de décès de Sparfel au fil des époques.

Suite...

Le déchaînement de la folie des hommes, suite

Bataille de Mauron en 1352

Environ 2000 Anglais et Montfortistes commandés par Gautier de Bentley se trouvent près de Mauron quand environ 5000 Français et Blésois commandés par Guy de Nesle venu de Malestroit tombe sur eux le 14 août 1352, les premiers mieux disciplinés, mieux positionnés sur une colline boisée d'un côté et possédant des archers expérimentés résistèrent au centre et sur une des ailes à une poussée française, l'autre aile composée d'archers fût enfoncé par une charge de cavalerie mais ce qui détermina l'issue de la bataille sera la contre-attaque victorieuse de Bentley au centre face l'aristocratie française et Montfortistes qui sera en grande parti décimés avec entre autres leur chef Guy de Nesle maréchal de France.

Bataille d'Auray en 1364

Charles de Blois avec une armée d'environ 7000 hommes arrivent le 28 septembre sur la rive gauche de la rivière du Loc'h à 2 kilomètres de la ville d'Auray située sur l'autre rive, Jean de Montfort place son armée d'environ 5000 hommes pour obtenir un face à face séparé seulement par le Loc'h.

Les deux armées sont divisées de manière identique soit toutes deux en 4 "batailles" selon le terme de l'époque, Charles de Blois prend la bataille centrale face à Jean de Montfort secondé de Jean Chandos, Bertrand Duguesclin prend la bataille sur l'aile droite face à Robert Knolles, Jean de Chalon-Auxerre et le comte de Joigny prennent la bataille de l'aile gauche face à Olivier de Clisson et Mathieu de Gournay, la bataille de réserve de Charles de Blois est dirigée par Guillaume de Rieux, Gérard de Retz et Olivier de Tournemine, celle de Jean de Montfort par Hugues de Calverly. 

Le combat d'Auray voit la victoire incontestée du jeune Jean de Montfort mais surtout la mort de son compétiteur Charles de Blois dans des circonstances inconnues, soit tué après avoir été fait prisonnier, soit mort en combattant (Charles de Blois a été béatifié en 1904). 
Pendant cette lutte Bertrand Duguesclin est fait prisonnier, Guillaume de Rieux, Olivier de Tournemine sont également tués. 

Bataille de Saint-Aubin du Cormier en 1488

Le 23 juillet 1488 l'armée bretonne part de Rennes pour Fougères où elle espère rompre le siège de la ville en ignorant que Fougères est déjà tombé depuis quatre jours, apprenant la perte de Fougères l'armée bifurque vers le sud en direction de Saint-Aubin du Cormier aux mains des Français pour l'assiéger.

Les troupes françaises commandées par la Trémoille et partie de Fougères apprennent à Saint- Aubin du Cormier que les Bretons sont proches et sans attendre va aux devant d'eux, la lande prendra plus tard le nom de "lande de la Rencontre". 

L'armée bretonne d'environ 12000 hommes, bien placée et prête au combat aurait du profiter de sa situation pour attaquer l'importante armée française de 15000 hommes qui arrivait au compte-goutte par une route entre deux bois en provenance de Saint-Aubin du Cormier et surprit de voir les Bretons si proches, les chroniqueurs de l'époque sont très clair, une attaque à ce moment précis aurait été une victoire facile des Bretons, l'indépendance d'un pays tient parfois a peu de chose. 

La bataille commence par un duel d'artillerie, les deux armées avancent l'une vers l'autre, le premier contact a lieu entre l'aile droite bretonne commandée par le maréchal de Rieux et l'aile droite française qui doit reculer de 100 pas. 

Le centre de l'armée bretonne descend trop vite vers le ruisseau du Riquelon pour éviter les obus de l'artillerie française ce qui affaiblit les lignes bretonnes, cette erreur ne passe pas inaperçue aux yeux de Galiota qui avec ses 400 cavaliers perce le centre des Bretons. 

La cavalerie bretonne ne réagit pas ce qui permet aux cavaliers français de mettre hors de combat l'artillerie bretonne mais surtout autoriser le centre de l'armée française à s'engouffrer dans la brèche puis de contourner les ailes de l'armée bretonne qui doit maintenant se battre devant et derrière, cette désorganisation importante provoque un sauve qui peut des Bretons.

Bataille de Saint-Cast en 1758

Pendant la guerre de 7 ans (1756-1763) il y eut plusieurs expéditions anglaises en Bretagne, la ville de Saint-Malo avec ses armateurs et ses corsaires focalisait toutes les ressentiments de l'amirauté anglaise, au mois de juin 1758 il y a une première tentative infructueuse et sans combat par le duc de Malborough depuis Paramé puis la même année une seconde avec le général Bligh depuis l'ouest avec 9000 hommes.  Cette seconde tentative pour prendre Saint-Malo commence le 4 septembre 1758 par le débarquement de troupes anglaises dans l'anse près du village de la Fosse en Saint-Lunaire mais après plusieurs jours de réflexion et les difficultés à traverser la Rance le général Bligh décide de renoncer et de se replier vers Saint-Cast où la flotte mouille. Un premier accrochage a lieu pour traverser le bras de mer au Guildo, deux jours seront perdus par les Anglais du fait des Bretons locaux commandés par Rioust des Villes-Audrains, ces deux jours seront mis à profit par le duc d'Aiguillon pour rassembler une armée capable de s'opposer au corps expéditionnaire Anglais.  Les pertes anglaises sont estimées à environ 1700 morts et 700 prisonniers pour 200 morts pour les français. Rioust des Villes-Audrains sera un héros en Bretagne et le duc d'Aiguillon un héros en France avant ses démêlés avec le parlement de Bretagne puis sa disgrâce sous Louis XVI. 

http://www.bretagneweb.com/histoires/bretagne-batailles-bretonnes.htm

Les bretons combattront par la suite au nom de la France et non plus au nom de la Bretagne. Ce qui n'empêchera pas leur détertermination à conserver la nation française et bretonne fière de nos bretons.

La Conscription militaire a vu le jour le 5 septembre 1798 et elle a cessée le 5 septembre 1997.

Cette conscription nous permet de suivre les états de service de nos aieux.

j'ai pu réunir ainsi près de 300 livrets militaires et faits de service que je mets à votre disposition :

dossiers militaires
click --->
retour site
site suite
site suite
retour site